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DG Communication Brussels, Friday, 7 October 2011, at 11:23
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NOBEL PEACE PRIZE GOES TO WOMEN'S RIGHTS The Norwegian Nobel Committee has decided that the Nobel Peace Prize for 2011 is to be divided in three equal parts between Ellen Johnson Sirleaf, Leymah Gbowee and Tawakkul Karman for their non-violent struggle for the safety of women and for women’s rights to full participation in peace-building work. We cannot achieve democracy and lasting peace in the world unless women obtain the same opportunities as men to influence developments at all levels of society. In October 2000, the UN Security Council adopted Resolution 1325. The resolution for the first time made violence against women in armed conflict an international security issue. It underlined the need for women to become participants on an equal footing with men in peace processes and in peace work in general. Ellen Johnson Sirleaf is Africa’s first democratically elected female president. Since her inauguration in 2006, she has contributed to securing peace in Liberia, to promoting economic and social development, and to strengthening the position of women. Leymah Gbowee mobilized and organized women across ethnic and religious dividing lines to bring an end to the long war in Liberia, and to ensure women’s participation in elections. She has since worked to enhance the influence of women in West Africa during and after war. In the most trying circumstances, both before and during the “Arab spring”, Tawakkul Karman has played a leading part in the struggle for women’s rights and for democracy and peace in Yemen. It is the Norwegian Nobel Committee’s hope that the prize to Ellen Johnson Sirleaf, Leymah Gbowee and Tawakkul Karman will help to bring an end to the suppression of women that still occurs in many countries, and to realise the great potential for democracy and peace that women can represent.
MOODY'S DOWNGRADES RATINS OF A DOZEN U.K. BANKS(AFP) - L'agence d'évaluation financière Moody's Investors Service a abaissé vendredi les notes de 12 banques britanniques, dont cinq grandes, en estimant que le gouvernement était moins enclin à leur apporter son soutien financier en cas de problème. Parmi les grands établissements concernés figurent les deux mastodontes Lloyds Banking Group (LBG), qui descend d'un cran de "Aa3" à "A1", et Royal Bank of Scotland (RBS), qui descend de deux crans de "Aa3" à "A2". Ces deux banques avaient été renflouées par l'Etat à hauteur de plusieurs dizaines de milliards de livres durant la crise financière de 2008/2009. Trois autres établissements importants sont concernés: Santander UK (abaissé de "Aa3" à "A1"), Co-Opérative Bank ("A3" à "A2") et Nationwide Building Society ("Aa3" à "A2"). Trois banques majeures sont épargnées: Barclays, HSBC et Standard Chartered. En revanche, les notes de sept établissements de moindre importance, notamment des sociétés spécialisées dans le crédit immobilier, ont été abaissées dans la foulée, de un à cinq crans. "Moody's a pris en compte une diminution de la probabilité d'un soutien financier du gouvernement britannique en cas de besoin", a expliqué l'agence dans un communiqué. Elle assure toutefois que sa décision "ne reflète pas une détérioration de la solidité financière du système bancaire" britannique. Moody's avait fait savoir en mai qu'elle envisageait d'abaisser les notes des banques britanniques pour prendre en compte la nouvelle donne politique, le plan de rigueur budgétaire adopté par le gouvernement rendant moins acceptable un nouveau soutien des contribuables au secteur financier. Les investisseurs ont immédiatement réagi à la décision, et les banques concernées étaient sanctionnées à la Bourse de Londres: vers 07H40 GMT, LBG perdait ainsi 2,41% à 35 pence et RBS 1,56% à 23,98 pence, dans un marché en hausse de 0,4%.
FATE OF DEXIA ASSETS APPEARS FIXED (AFP) - Les grandes manoeuvres pour le démantèlement de la banque franco-belge Dexia s'intensifiaient jeudi, avec une possible nationalisation en Belgique et une garantie publique sur des actifs en France, tandis qu'un acheteur s'est déjà signalé pour la branche luxembourgeoise. Trois jours à peine après le coup d'envoi de son dépeçage organisé, l'établissement ne se présente déjà plus que comme un inventaire d'actifs à céder. En Belgique, le gouvernement privilégierait la nationalisation de Dexia Banque Belgique (DBB), l'activité de détail, selon la presse belge. Un conseil des ministres restreint, jeudi matin, "a arrêté une position et a mandaté Didier Reynders pour négocier", a indiqué une source proche du gouvernement, sans vouloir préciser l'option privilégiée. Mercredi, Reynders avait évoqué publiquement l'hypothèse d'une nationalisation pour assurer la pérennité de Dexia Banque Belgique. Ces informations ont amené le gendarme belge des marchés, la FSMA, à stopper jusqu'à lundi la cotation du titre Dexia, qui perdait 17,24% à 85 centimes au moment de cette suspension. QATAR TO BUY LUXEMBOURG BRANCH La FSMA a également justifié sa décision par l'annonce de négociations exclusives pour la cession de la branche luxembourgeoise, Dexia Banque Internationale à Luxembourg (BIL). Selon les journaux belges L'Echo et De Tijd, l'acheteur serait le fonds souverain du Qatar et la transaction aurait été fixée à 900 millions d'euros, ce que Dexia et les autorités luxembourgeoises ont refusé de commenter. En France, les travaux avancent également sur deux grands dossiers: l'activité de financement des collectivités locales et le portefeuille de crédits déjà émis par Dexia à leur destination.NEW BANK IN FRANCE Selon des sources concordantes, le projet s'oriente en l'état vers la création d'une nouvelle banque dédiée aux collectivités, détenue à 65% par la Banque Postale et 35% par la Caisse des dépôts (CDC). "L'objectif est d'être en position de bâtir une (structure) alternative pour les crédits aux collectivités locales dans laquelle elles pourront avoir confiance", a précisé une source proche du dossier. Selon cette source, le conseil d'administration de La Poste a autorisé le principe de l'extension de l'activité de la Banque Postale aux prêts aux collectivités locales et autorisé la poursuite des discussions. "On est bien conscient de l'urgence qu'il y a sur ce dossier", explique une source proche du dossier, car le marché du financement des collectivités est actuellement sinistré, du fait du retrait partiel de Dexia, mais aussi des autres banques. Mais si le consensus existe sur l'intérêt de maintenir le financement des collectivités, le dialogue est beaucoup plus difficile concernant le portefeuille de crédits dont Dexia veut aussi se dessaisir. Le schéma actuel implique une entrée de la CDC dans le capital de Dexia Municipal Agency (Dexma), où se trouve ce portefeuille d'environ 80 milliards d'euros, à hauteur de 65%. La Banque Postale prendrait elle 5%, Dexia conservant 30% (contre 100% aujourd'hui). La CDC affiche des réticences à l'idée de récupérer ce portefeuille dont une petite partie se présente sous la forme de prêts dits toxiques, au coeur de la tourmente depuis plusieurs mois.COMPLEX NEGOTIATIONS Pour faciliter l'opération, la Caisse aimerait que l'Etat apporte sa garantie sur tout ou partie du portefeuille. Cette sûreté éviterait à l'institution d'encaisser des pertes en cas d'effacement de crédits toxiques ou de révision à la baisse de la valeur des actifs du portefeuille. De leur côté, les Etats, qui ont indiqué publiquement que leurs garanties ne porteraient que sur les financements de Dexia et par sur les actifs de la banque, rechignent à élargir leurs engagements au risque de fragiliser leurs finances publiques. D'autant que se pose également la question de la répartition entre Etats belge et français: la Belgique goûte peu la perspective d'assumer des pertes sur des actifs et une activité française à 100%. "Les discussions sont extrêmement complexes techniquement et compliquées par le jeu de pouvoir économique et politique entre les parties en présence: l'Etat belge et l'Etat français, la Caisse des dépôts, La Poste, les parlementaires et l'ensemble des élus concernés par les problématiques des collectivités locales", a précisé une source proche du dossier.
SARKOZY TO DISCUSS BANK CAPITAL IN BERLIN (Reuters) - French President Nicolas Sarkozy said he would discuss the issue of possible capital injections for banks when he meets German Chancellor Angela Merkel this Sunday in Berlin. A nosedive in French banking stocks in recent weeks, coming on the back of concern expressed by the IMF about European banks' capital levels, has raised the spectre of the French state having to step in and help recapitalise its banks. "I will have the pleasure of being in Berlin on Sunday. That will be the place to talk about recapitalising banks," Sarkozy told a news conference in Yerevan, Armenia, on Friday during a brief trip to the Caucasus.
FRANCE'S INSEE CUTS GROWTH FORECAST SHARPLY (AFP) - L'Insee a revu en nette baisse sa prévision de croissance pour 2011 et table désormais sur une hausse de 1,7% du PIB contre 2,1% auparavant, avec une progression de l'activité économique à 0,3% au troisième trimestre et nulle au quatrième. Cette prévision reste néanmoins proche de l'objectif de 1,75% du gouvernement pour 2011, inscrit dans le projet de budget 2012 publié le 28 septembre.UNEMPLOYMENT TO RISE (AFP) - Le taux de chômage en France métropolitaine pourrait remonter à 9,2% au quatrième trimestre, contre 9,1% au deuxième, selon des prévisions de l'Insee qui table sur une activité économique "peu dynamique" en fin d'année. "Avec le ralentissement de l'activité qui s'est amorcé au deuxième trimestre et se poursuivrait au second semestre, le rythme des créations d'emploi s'infléchirait nettement", prévoit l'Institut. jg/pz/ei AFP (See Point de conjoncture, octobre 2011 - La reprise se grippe or tables)
FRENCH BUDGET DEFICIT STILL ABOVE € 100 BILLION (AFP) - Le déficit du budget de l'Etat a reculé d'une vingtaine de milliards d'euros fin août par rapport à l'année précédente, à 102,8 milliards, grâce à une baisse des dépenses et, dans une moindre mesure, une hausse des recettes, a annoncé vendredi le ministère du Budget. Sur l'ensemble de l'année 2011, le déficit de l'Etat est attendu à 95,5 milliards, mais Bercy assure que les chiffres d'août sont "en ligne avec l'objectif". Des rentrées fiscales attendues d'ici la fin de l'année devraient contribuer à ramener le budget dans les clous. Le respect de cet objectif est nécessaire pour que la France tienne son engagement de ramener le déficit public (Etat, collectivités locales et Sécurité sociale) de 7,1% du produit intérieur brut (PIB) l'an dernier à 5,7% cette année. Fin août 2010, le budget de l'Etat enregistrait un solde négatif de 122,1 milliards. Les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) refluent nettement, à 243 milliards fin août 2011, contre 270,1 milliards un an plus tôt, grâce notamment à l'extinction quasi totale du surcoût transitoire lié, l'an dernier, à la réforme de la taxe professionnelle. L'année dernière avait aussi été marquée par les dépenses des "investissements d'avenir" financés par le "grand emprunt", rappelle le ministère. En revanche, la charge effective des intérêts de la dette progresse fin août de 4,5 milliards par rapport à la même date un an plus tôt. De leur côté, les recettes du budget général (nettes des remboursements et dégrèvements) s'établissent à 172 milliards fin août contre 169,5 milliards un an plus tôt. Les recettes fiscales nettes sont en hausse de 4,1 milliards d'une année sur l'autre. Le produit de l'impôt sur les sociétés, très affecté pendant la crise, continue son rebond et augmente d'un tiers. La TVA et l'impôt sur le revenu rapportent aussi plus que l'an dernier, mais dans une nettement moindre mesure. En revanche, les "autres recettes fiscales" reculent, mais le ministère explique que cela est dû au "report à septembre, exceptionnellement cette année, de la date d'échéance de l'impôt de solidarité sur la fortune, du fait de la mise en place de la récente réforme de la fiscalité du patrimoine". Enfin, les "comptes spéciaux", qui comprennent les avances et les opérations financières, enregistrent une dégradation de 10,3 milliards d'euros par rapport à fin août 2011, en raison notamment des décaissements en janvier, mars et juillet des prêts à la Grèce. Mais "aucun événement significatif" n'a changé cette donne en août, souligne Bercy.
THREE LEADERS CALL FOR 'EU GROWTH STRATEGY' (AFP) = Trois chefs de gouvernement européens ont appelé jeudi à un agenda ambitieux de croissance visant à remettre l'Union européenne sur les rails et incluant une stricte discipline fiscale de la part des Etats membres, au moment où la crise de la zone euro s'approfondit. "Un engagement clair et crédible à travailler à un agenda ambitieux de croissance, au niveau national et au niveau de l'UE, est nécessaire pour remettre l'Europe sur les rails", déclarent dans une lettre adressée aux plus hauts responsables de l'Union les Premiers ministres des Pays-Bas, Mark Rutte, de la Suède, Fredrik Reinfeldt, et de la Finlande, Jyrki Katainen. "La gravité de la crise à laquelle nous sommes confrontés souligne l'importance d'un agenda de croissance de l'UE", écrivent les trois dirigeants dans cette lettre. Daté du 5 octobre, le document est adressé au président de la Commission européenne José Manuel Barroso et au président de l'UE Herman Van Rompuy. La lettre énumère une série de suggestions sur la manière de renforcer la croissance dans l'UE, notamment "de hauts niveaux d'ambition pour des marchés ouverts et compétitifs, l'innovation, l'accès aux financements, une régulation intelligente et un marché unique fort".
GREECE BAILOUT TALKS NOT ENDED YET (Reuters) - Greece said on Thursday it concluded talks with the IMF on a vital tranche of aid but inspectors said negotiations on the bailout were continuing and that there was no final conclusion with any party. Inspectors from the troika resumed their review of Greece's progress on a bailout deal last week, and an IMF official said the Fund's latest review of Greece's loan programme will be completed within days. The Finance Ministry issued a statement saying Minister Evangelos Venizelos had finalised bailout talks with the IMF and would resume talks with the European Commission on Friday. "The talks are continuing," a troika official told Reuters on condition of anonymity. Without the aid, Athens may run out of cash as early as next month, prompting a swift default that would drag the euro zone deeper into a debt crisis already shaking financial markets worldwide. A senior official from the troika told Reuters on Wednesday that the Greek aid tranche was likely to be agreed but that Athens must first do more to convince its lenders it can implement reforms. Earlier on Thursday, sources close to the troika told Reuters they expected the talks to continue until early next week.
SLOVAK PARTY SETS TOUGH CONDITIONS FOR EFSF APPROVAL (Reuters) - A junior Slovak government party wants the country out of the euro zone's planned permanent bailout mechanism in return for supporting a plan to give more firepower to a temporary rescue fund, a demand unlikely to win support at home and abroad. The proposal by the liberal Freedom and Solidarity party (SaS), seen by Reuters, was presented to the three other ruling parties on Thursday and will be debated ahead of a parliamentary vote next week. The SaS has blocked approval in Slovakia on the grounds that Slovaks should not bail out richer countries such as Greece that got into fiscal troubles because of profligate spending. The SaS stance has held up progress in fighting the euro zone's deepening debt crisis and brought Slovakia's governing coalition to the brink of collapse. "I hope (our plan) will be accepted," Richard Sulik, the parliamentary speaker and head of SaS, told reporters after leaving the meeting of coalition parties. "More time is needed to debate the proposal." The permanent European Stability Mechanism (ESM), which SaS would like to pull out of, is due to operate from 2013. A senior government source told Reuters the SaS demand was not a workable solution and would also not be acceptable for European partners, leaving the ratification process in Slovakia up in the air. The SaS also proposed the formation of a parliamentary committee that would vote on each disbursement of EFSF loans. Each party would have a veto. Parliaments in Malta and the Netherlands have also yet to vote. Overnight, Malta delayed ratification of the plan after a former prime minister raised legal objections to the text of a resolution presented to parliament. Even as the Slovaks and Maltese wrestle over the July agreements, European leaders have already moved beyond that stage as the crisis intensifies and are scrambling to prevent a default by Greece that could drag larger euro states like Italy or Spain deeper into financing trouble.
DUTCH PARLIAMENT APPROVES REINFORCED EU BAILOUT FUND (AFP) = Les députés néerlandais ont approuvé jeudi le renforcement des pouvoirs du Fonds européen de stabilité financière (FESF), décidé le 21 juillet lors d'un sommet des dirigeants de la zone euro. Les Pays-Bas sont le quinzième pays de la zone euro à avoir ratifié le renforcement du FESF, ce qui permettra à celui-ci notamment d'acheter de la dette publique en lieu et place de la Banque centrale européenne (BCE), une mesure importante pour empêcher la contagion de la crise de la dette. Doté d'une capacité de prêts effective de 440 milliards d'euros, dont 25 milliards environ sont garantis par les Pays-Bas, le FESF pourra également, une fois son renforcement ratifié, accorder aux Etats des lignes de crédit préventives comme le fait le Fonds monétaire international (FMI). Seuls Malte et la Slovaquie doivent encore se prononcer sur le renforcement du FESF, qui doit pour entrer en vigueur être approuvé par les 17 Etats de la zone euro. Ceux-ci espèrent voir la ratification finalisée d'ici à la mi-octobre pour rassurer les marchés. Si Malte devrait approuver l'accord lundi, le parti d'opposition travailliste ayant affirmé qu'il allait voter en sa faveur, l'issue du vote du parlement slovaque, fixé mardi, apparaît incertaine, la coalition au pouvoir étant divisée sur le sujet.
EU COMMISSION WANTS POWER TO HALT REGIONAL FUNDS TO DEBT SINNERS (Reuters) - European Union governments that flout the bloc's budget rules could lose billions of euros in EU funding under proposals put forward by the bloc's executive arm on Thursday. The plan seeks to extend financial sanctions for budget rule-breakers to all 27 EU countries, rather than just the 17 states that share the euro and are therefore subject to fines if they do not comply with the Stability and Growth Pact. Suspending EU funds has already been made possible earlier for countries repeatedly breaking the EU's 3 percent budget deficit limit, but it was limited only to cohesion funds, one of several types of EU funding available to members of the 27-nation bloc. Now, the European Commission wants to be able to suspend all kinds of EU funds flowing to any EU country if its government runs a deficit above 3 percent of GDP and ignores EU calls to bring it under control. The initiative is part of the European Commission's proposed overhaul of EU regional funding for 2014-2020, which aims to channel 376 billion euros into infrastructure projects and other regional development initiatives. This week, EU finance ministers agreed new rules that make it easier to impose financial penalties on euro zone countries that break EU debt and deficit limits of 60 percent and 3 percent of GDP respectively. "We have just adopted the six pack, and part of the six pack is the possibility to fine euro zone countries if they breach the stability and growth pact," said EU regional policy chief Johannes Hahn, presenting the proposals in Brussels. "This only comprises 17 out of 27 member states, and that's why we have discussed if there's a possibility to use European money as a... final way to bring member states back to a sound economic track," Hahn said at a news briefing in Brussels. Hahn said he hoped the mere threat of stopping EU payments would ensure countries maintained macroeconomic discipline, and that the penalties would only be used as a last resort. The proposal is likely to be of most concern to poorer EU countries not currently part of the euro zone that are set to receive a greater share of regional aid, such as Poland, Hungary and the Czech Republic. But the plans are expected to win the support of large net contributors to the EU's budget inside the euro zone, including Germany and France. Before becoming law, the proposals must be approved by EU governments and lawmakers, who also have the final say on the overall size of the EU's budget for 2014-2020. In the last 10 years EU regional aid has created over 1 million jobs and co-financed the construction of more than 2,000 kilometres of motorway and 4,000 km of railway, according to the Commission.
FAR RIGHT POPULISM REVIVES IN NORTHERN EUROPE (Reuters) - They don't like immigrants and they don't like Europe. Some of them don't even like being called 'far right'. However you describe them, fringe parties from Finland to the Netherlands are taking a cue from the euro crisis to revive ideas of economic nationalism. Few go as far as Marine Le Pen's National Front in France, which advocates a pullout from Europe's single currency. But some have turned up the rhetoric in favour of a strong state to reclaim powers lost to Brussels. Often they want to shed the burden of bailing out weaker euro zone partners like Greece. In the Netherlands, Geert Wilders' Freedom Party is now the second most popular, recent polls show. "The peoples of Europe were robbed of their sovereignty, which was transferred to far-away Brussels. Decisions are now being taken behind closed doors by unelected bureaucrats," Wilders said in a Berlin speech last month. He has toyed with the idea of leaving the euro but it does not seem that strong a view -- he'd rather be in the euro club with Germany and kick out the countries on the periphery. The Finns Party, known until recently as the True Finns, won 19 percent of the vote in an April election. Their opposition to bailouts gained sympathy among voters who resent helping southern countries while they face austerity. The party wants countries like Greece out of the euro. Austria has two far-right parties, both in opposition and widely accepted on the political landscape. Both oppose further bailouts of euro zone countries. One, the Freedom Party, has proposed dividing the euro zone into two parts: the strong north and Mediterranean weaklings. It often comes second in opinion polls behind the Social Democrats. Among Europe's big countries, Germany's National Democratic Party and the British National Party are more marginalised. Britain's Conservatives provide a mainstream outlet for eurosceptics, and German Chancellor Angela Merkel has been the reluctant party in euro zone bailouts. A September poll showed a eurosceptic political party would find strong support in Germany. Around 50 percent said they would welcome such a group on the scene.